Il est souvent présumé à tort que le recours à un notaire est obligatoire pour régler toutes les successions. En réalité, l’intervention d’un notaire devient nécessaire dans des situations spécifiques telles que lorsque l’actif successoral dépasse un certain montant, lorsqu’il y a des donations entre époux, en présence d’un testament, ou lorsque la succession inclut des biens immobiliers. Ce guide explore plus en détail les conditions sous lesquelles une succession peut être réglée sans l’aide d’un notaire.
Après la disparition d’un être cher, il est possible de réaliser une succession sans l’assistance d’un notaire sous certaines conditions spécifiques. Par exemple, si le défunt n’a pas établi un contrat de mariage, ou s’il n’a pas fait de donations, ou s’il n’a pas laissé de dispositions testamentaires. Comme évoqué précédemment, il existe également des conditions financières qui permettent de se passer des services d’un notaire. Selon la législation en vigueur, si la personne décédée n’a pas laissé de biens immobiliers et si les fonds déposés à la banque sont assez modestes (moins de 5 335,72 euros), la loi n’oblige généralement pas les héritiers à faire appel à un notaire pour régler la succession.
Premièrement, par mesure de prudence, il est fortement recommandé d’identifier tous les héritiers ou ayants droit et de les informer de la disparition du défunt. Une consultation détaillée du compte bancaire du défunt s’impose également pour évaluer avec précision l’actif et le passif de la succession. Cette étape initiale est cruciale, car si les dettes du défunt surpassent les actifs, les héritiers ont la possibilité de renoncer à la succession.
Voici un guide des formalités à suivre pour une succession sans notaire :
Comparatif des Garanties Accidents de la vie (GAV)
ComparatifComparatif des Assurances dépendance pour Seniors
ComparatifComparatif des Assurances Déces pour Seniors
ComparatifComparatif des Conventions obsèques pour Seniors
Comparatif