Le besoin pour les dons d’organes a augmenté au fil des années en raison du nombre croissant de personnes en phase terminale de défaillance d’organes. Le don d’organes représente une occasion d’aider autrui et de changer des vies. Après le décès, il est essentiel de connaître les souhaits du défunt concernant l’utilisation de son corps. Il est également important de savoir où le défunt sera inhumé ou où ses cendres seront déposées. Cependant, cet article se concentre sur le don d’organes et le don du corps.
Beaucoup de patients en phase terminale d’une maladie d’organe ont un besoin pressant de greffes. Leur survie dépend souvent de la disponibilité d’un organe compatible. La liste d’attente est généralement longue, et certains décèdent avant de recevoir une greffe. Un donneur vivant peut donner un rein ou une partie de son foie et continuer à mener une vie presque normale. Il n’y a pas d’âge limite pour le don, à condition que le donneur soit en bonne santé. Pour les mineurs, le consentement des parents est obligatoire. Les personnes en état de mort cérébrale, environ 0,5 % des décès, sont également des donneurs potentiels. Le don est anonyme, le donneur et le receveur ne peuvent pas connaître l’identité de l’autre. Les frais de prélèvement sont pris en charge par l’hôpital. Certains organes peuvent être jugés inadaptés à la greffe, mais d’autres tissus pourraient être utiles. En France, le nombre de greffes à partir de donneurs vivants est estimé à environ 5000 par an. Tous les organes vitaux peuvent être transplantés, les plus couramment étant le rein, le poumon, le foie, le cœur, le pancréas et l’intestin. Les greffes de tissus, comme la moelle osseuse et la cornée, sont également possibles. Un donneur peut aider 4 à 8 personnes, bien qu’un certain pourcentage de prélèvements soit rejeté. Environ 40 % des refus sont dus au défunt lui-même, les 60 % restants étant généralement le fait de la famille, souvent en raison d’un manque d’information sur les souhaits du défunt.
Conformément à la loi de bioéthique, les organes peuvent être prélevés à moins que la personne décédée n’ait exprimé une opposition de son vivant. En l’absence d’information claire sur la volonté du défunt, il revient à la famille de prendre la décision, qui souvent refuse par manque d’information.
Pour les personnes qui souhaitent faire un choix éclairé en ce qui concerne le prélèvement d’organes après leur décès, il est crucial de connaître les options disponibles pour exprimer leur volonté. Les implications du don d’organes sont sérieuses et méritent une réflexion approfondie. Voici quelques manières de formaliser son choix :
La clé est la communication. Peu importe votre choix, le plus important est de s’assurer que votre volonté soit bien connue et respectée. En suivant ces étapes, vous pouvez avoir l’esprit tranquille, sachant que vos souhaits concernant une question aussi délicate seront honorés.
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