La question peut sembler déplacée, mais il n’est pas rare qu’une personne déclarée morte se réveille en morgue. Bien que les chances de rencontrer un cas de “mort apparente” soient minimes, il est crucial de s’assurer qu’une personne est réellement décédée avant de procéder à l’embaumement, à la crémation ou à l’inhumation. Heureusement, il existe des signes corporels spécifiques qui permettent de réduire les erreurs potentielles d’enterrer une personne vivante.
Le risque d’enterrer une personne vivante peut survenir, particulièrement dans les pays en développement où les ressources médicales sont limitées. Pour confirmer la mort d’un individu et distinguer celle-ci d’une simple perte de conscience, il est crucial de reconnaître certains signes. Des équipements médicaux fiables sont également utilisés pour certifier la mort. Ces signes se divisent en symptômes négatifs et positifs.
Signes négatifs indiquant l’absence de vie :
Ces indices peuvent toutefois être confondus avec ceux d’un coma profond. Seuls les signes positifs de la mort permettent de confirmer définitivement le décès.
Signes positifs de la mort :
En milieu hospitalier, le personnel médical utilise des appareils sophistiqués tels que des électrocardiogrammes et des électrocardioscopes pour affiner le diagnostic et éviter les erreurs.
La délivrance du certificat de décès est une étape cruciale dans le processus de gestion des funérailles. Ce document, signé par un médecin de famille ou un médecin hospitalier, joue plusieurs rôles importants :
Les proches du défunt disposent généralement de 6 jours pour organiser les funérailles. La souscription à une assurance obsèques de son vivant peut grandement faciliter l’organisation et le financement de cet événement. Le comparateur d’assurance obsèques disponible sur ce site offre une aide précieuse pour choisir une assurance adaptée en termes de prime, de capital et de prestations annexes, sans frais supplémentaires pour son utilisation.
L’obtention d’un certificat de décès est indispensable pour les funérailles. En France, il existe deux types de modes funéraires : l’inhumation et la crémation. La crémation, une technique originaire d’Asie, est une pratique ancienne remontant au 4ème siècle avant J.C. Elle est couramment utilisée dans le Bouddhisme et l’Hindouisme. Cette technique consiste à réduire en cendres le corps d’un défunt en le brûlant à une température élevée. Après la crémation, les proches peuvent récupérer les cendres et les placer dans une urne funéraire ou les disperser dans un jardin du souvenir. Si le défunt a exprimé ses dernières volontés concernant la crémation de son corps de son vivant, ses proches doivent respecter scrupuleusement cette directive. La loi française autorise la pratique de la crémation depuis 1887. Bien qu’elle n’ait pas été largement adoptée à ses débuts, aujourd’hui, environ la moitié des funérailles en France impliquent la crémation. Il est important de noter que la crémation diffère de l’incinération, qui est le traitement des ordures et déchets en cendres.
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